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Clément
vit au Pérou depuis 2006. Lorsqu'il est parti avec son sac
à dos, il était journaliste automobile. Après
être descendu de Buenos Aires à Ushuaïa en stop,
il a traversé l'Argentine, la Bolivie et a fini par atterrir
à Lima où il s'est installé.
Le
blog de son voyage (lire les pages en remontant du
bas puis passer aux pages précédentes par les n°
en bas de page)
Après avoir
fait un trip en coccinelle, un peu de journalisme, automobile et
social, vécu 3 semaines en Amazonie pour faire les photos
de la thèse d'une ethnologue, il a ouvert une officine moto
dans un quartier de Lima en développement. Manchay n'est
pas un quartier riche et son commerce est plus un commerce de survie
qu'un commerce de vie...
Il continue à
faire de la photo et il fait partie de l'association de photographes :
Limafotolibre
http://www.limafotolibre.com/365/
Il connait
bien le Pérou et ses habitants
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Les
motos (voir
le courrier de Clément du 26/11/11 - ci-dessous)
On s'oriente vers des motos péruviennes
ou chinoise équivalentes aux Honda XL185 ou XR 250 cc : ce
sont les motos les plus communes au Pérou, originales ou
copies chinoises, motos simples et sans électronique, on
trouve facilement des pièces et des mécanos capables
de les réparer. En revanche, pas de possibilité de
duo.
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Les
routes
Les grand-routes sont bitumées
et en très bon état, la circulation n'y est pas très
dense mais il faut se méfier des camions et des bus qui sont
les rois de la route et roulent parfois très vite. Dès
que l'on quitte ce réseau principal, les routes ne sont plus
revêtues mais en assez bon état.
Nous
sommes partis du principe que les participants ne sont pas des trialistes
ou des crossmen, nous évitons donc les sentiers de chèvres !
Toutes les routes doivent au moins permettre le passage d'une automobile.
|
Les
étapes
Nous
avons choisi des étapes assez courtes (entre 100 et 250 km)
tenant compte :
- de l'état
des routes, des risques de pannes : humaines (mal d'altitude,
« tourista », fatigue...) ou mécaniques.
- de la nécessité
absolue de terminer avant la nuit qui tombe vers 17 h 45 (pays
tropical)
- des choses
à voir et à visiter : nombreux arrêts qui ne devront pas être
occultés par la nécessité de rouler.
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Les
bagages
Chaque participant
emportera ses bagages dans un sac polochon arrimé sur le
siège arrière de la moto avec un filet araignée.
On pourra le compléter éventuellement avec un sac
de réservoir.
Nous
étudions la possibilité de louer un 4x4 ou l'achat
d'une coccinelle accompagnatrice, ce qui permettrait d'emporter
des outils, une réserve d'essence et de transporter 1 à
4 passagères éventuelles. Cela permettrait également
de redescendre un participant victime du mal des montagnes ou autre.
Pendant
un temps, nous avions envisagé l'envoi préalable d'une
cantine contenant les encombrants tels que casques et vêtements
de moto mais cette solution ne nous semble pas fiable à 100%
et le fait que tous les participants perdent leur matériel
en même temps serait une catastrophe. Nous essayons de nous
renseigner sur le transport d'un casque en bagage cabine.
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Les
hébergements
Dans
chaque village péruvien, on trouve facilement des hôtels.
On essaiera également dans la mesure du possible un ou deux
hébergements chez l'habitant. Attention, l'eau chaude, même
dans les hôtels de luxe est assez rare.
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L'administratif
On
rentre au Pérou avec un passeport en cours
de validité pour au moins 6 mois. Si le
voyage passe par le Etats-Unis, se renseigner sur la compatibilité
du passeport avec les réglements étatsuniens.
Voir
ici
L'autorisation
électronique d'entrée (obligatoire même pour
une escale) aux US est à demander
ici
Un
permis international, comprenant la conduite des motos est indispensable.
Pour se le procurer, se rendre dans une préfecture ou sous-préfecture
avec son permis national, 2 photos d'identité, photocopie
d'un justificatif d'identité en plus de celle du permis national,
un justificatif de domicile...
Le
permis international est gratuit.
Penser
à une assurance rapatriement. Bien prendre le cas échéant
l'option moto de plus de 125cc
Lien
vers des sites d'assurances/assistance
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La
sécurité
Les
péruviens sont dans la majorité des gens honnêtes
et sympathiques. Bien sûr, comme partout, il existe des endroits
où il est déconseillé au touriste de s'aventurer.
Les français ont une bonne cote au Pérou. Notre intérêt
est de ne pas nous comporter en touristes arrogants et provocateurs.
Un
conseil : répartissez votre argent en plusieurs endroits.
ainsi, si un pickpocket se sert, il ne prendra pas tout. ça
évite aussi de sortir une liasse représentant un salaire
mensuel péruvien pour payer une bricole. De même, votre
document le plus précieux est votre passeport, séparez-le
de l'argent et mettez-le en lieu sûr sur vous. Pour ma part,
en général j'utilise des chemisettes dont la poche
de poitrine s'ouvre sur le côté avec une fermeture
éclair, le passeport tient juste dedans et il est presqu'au
contact de la peau.
Quand
à la sécurité routière... Dans les villes,
c'est la jungle pour un Européen, chacun se fraye un passage
à coup de klaxon pour se signaler. Seuls les feux tricolores
sont respectés. En campagne, se méfier des camions
et autres autobus. Il y a une grande disparité entre les
véhicules et leur état...
|
|
Cette
balade, servira de reconnaissance à un projet de monter une société
commerciale de balades dans les Andes. Société qui essaiera
de se démarquer des sentiers battus en proposant quelque chose
qui s'éloigne des lieux de tourisme de masse péruviens,
quelque chose de simple et convivial à un prix très compétitif
par rapport à ce qui se fait déjà : pas d'hôtels
de luxe, une vision plus réaliste du Pérou et de ses habitants,
un contact avec ceux-ci.
Il
ne s'agira pas non plus d'une prestation au rabais...
Deux
trips seront organisés :
le
premier du 15 (jour 1) au 29 juillet 2012 (jour 15) pour 6 membres du
forum DL650 V-Strom.
Le
second du 9 (jour 1) au 23 août 2012 (jour 15) pour 8 habitants
de Mazangé (41) ou assimilés ;-)).
En
noir, date d'arrivée à Lima
Trip du 15 au 29 juillet
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Trip du 9 au 23 août
|
7 motos et 1 voiture (4x4-pickup)
|
8 motos et 1 voiture (4x4-pickup)
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- 1 - Kant 15/07
à 5h10
- 2
- Gégé 45 15/07
à 5h10
- 3
- Marie-Laure 15/07
à 5h10
- 4
- Wizigo 15/07
à 5h10
- 5 - Fox 46
15/07
à 5h10
- 6 - Pierrot 59 15/07
à 5h 10
|
- 1 - Ambroise
07/08 à 23 h 10
- 2 - Jacky
07/08 à 23 h 10
- 3 - Valérie
07/08 à 23 h 10
- 4 - Sébastien
07/08 à 23 h 10
- 5 - Olivier 86
07/08 à 23 h 10
- 6 - Dom
07/08 à 23 h 10
- 7 - Manu
07/08 à 23 h 10
- Marie-Laure
(auto) idem
|
7 - Clément et
Jean-Marie se partageront entre la moto et la conduite de la voiture |
8 - Clément et
Jean-Marie se partageront entre la moto et la conduite de la voiture |
Organiser
un trip moto au départ de Lima vers la Andes n'est pas simple car
on est immédiatement confronté avec les hautes altitudes
et il n'est pas rare que les routes principales, empruntées quotidiennement
par les camions et autocars passent des cols à plus de 5000 m...
Il a donc fallu composer avec ce relief et la sécurité des
participants.
-
Un bilan médical et cardiaque est conseillé au préalable.
Le passage en altitude (voir plus loin le mal de l'altitude) est
éprouvant même pour une personne en bonne santé
et peut être dangereux pour des personnes présentant
un risque cardiaque. Il existe dans les grands hôpitaux français
un service spécialisé pour les gens se rendant dans
des destinations exotiques.
-
Aucun vaccin spécial n'est exigé pour l'entrée
au Pérou si on ne se rend pas en forêt amazonienne.
Site
de l'institut Pasteur
Résumé
(pour ce qui nous concerne) :
Fièvre
Jaune : La vaccination est recommandée pour les voyageurs
qui se rendent dans les zones suivantes à
une altitude inférieure à 2300 m : nord et
nord-est d’Ayacucho ; extrême nord de Huancavelica. La
vaccination est inutile dans les régions suivantes : toutes
les zones situées à plus de 2300 m d’altitude, les zones
situées à l’ouest des Andes qui ne figurent pas dans
la liste ci-dessus ainsi qu'à Lima
==> Quand
on parle d'Ayacucho et de Huancavelica, il s'agit des régions
et non directement des villes - dans cette zone nous ne descendons
pas en-dessous de 2300 m d'altitude (la ville d'Ayacucho est située
à 2700 m d'altitude et Huancavelica à 3700 m !
Nous n'allons pas au Nord-Est d'Ayacucho, beaucoup trop dangereux
pour d'autre raisons.
Hépatite B : Pour des séjours
longs ou répétés.
Rage : En cas de séjour prolongé,
en situation d’isolement (c'est à dire à plus de 48
h d'une ville pouvant effectuer le traitement - ce qui n'est pas
notre cas).
Thyphoïde : En cas de séjour
prolongé ou dans des conditions d’hygiène précaires.
Vérifiez
néanmoins la validité de votre vaccin anti-tétanique
-
En altitude, une petite carie peut être très douloureuse.
Pensez donc à faire un contrôle chez votre dentiste
avant votre départ pour éviter les problèmes
liés à l'altitude.
-
Une préparation physique préalable : marche,
course, natation, vélo... n'est pas à négliger.
-
Pour ceux qui en ont la possibilité, une acclimatation préalable
de quelques jours à une altitude de 1800 à 3000 m
est déjà un plus.
|
Le
mal de l'altitude
Le
mal de l'altitude est dû à la diminution de la pression
atmosphérique avec l'altitude, la proportion d'oxygène
dans l'air restant la même mais l'air se raréfiant
on manque donc de ce précieux gaz. On est donc plus vite
essoufflé, le rythme cardiaque augmentant.
Le
mal de l'altitude apparait lorsque l'on monte trop vite en altitude,
notre organisme n'a pas le temps de s'adapter. Les symptômes
peuvent être des maux de tête, des nausées, une
perte de volonté... Il est possible de le prévenir,
par une acclimatation progressive, mais le seul moyen de le traiter
est de redescendre à une altitude où il ne se manifeste
plus. Il peut apparaître en général à
plus de 3000 m et cela dépend des personnes mais personne
n'est à l'abri. Il n'est pas non plus immédiat, donc
un passage à plus de 4000 m avec redescente immédiate
ne provoque généralement pas de symptômes. Lors
d'un voyage au Pérou en 2006, partis d'Arequipa (2300 m)
le matin, nous avons passé le col de Patapampa à 5000
m vers 11 h ; au col, une sensation bizarre proche de l'ivresse
mais sans plus ; ensuite nous avons passé la journée
entre 3500 et 4500 m, le mal d'altitude à commencé
à se manifester vers 15 h par un fort mal de tête que
j'ai réussi à éliminer le soir vers 19 h en
appliquant, sur les conseils d'un médecin péruvien
qui nous accompagnait, des feuilles de coca sur mes tempes. Nous
avons dormi à Chivay (3650 m) sans autre manifestation et
nous avons continué l'excursion le lendemain en restant à
ces altitudes.
Dans
les très hautes altitudes, au-dessus de 5000 m, il peut être
très dangereux et aller jusqu'à la mort par oedème
pulmonaire ou du cerveau.
Pour
en savoir plus :
Site
(qui concerne plus l'alpinisme en très haute montagne).
Autre
site
Règles
à suivre
L'apparition des premiers symptômes du mal d'altitude ne doit
pas constituer outre mesure une source d'anxiété.
En étant attentif, il est possible de reconnaître les
symptômes du mal aigu des montagnes (MAM) et de prendre les
dispositions pour permettre à l'organisme de s'adapter. Le
docteur Shlim propose les règles suivantes.
Reconnaître
les symptômes
Un mal de tête résistant aux analgésiques, la
perte d'appétit, la nausée et une fatigue anormale
par rapport à l'effort constituent les premiers symptômes
du mal aigu des montagnes (MAM). Mais encore faut-il l'admettre.
Le désir de réussir le trek peut conduire une personne
à refuser d'admettre qu'il éprouve des symptômes
associés au mal d'altitude. Un diagnostic précis quant
à l'état d'avancement du MAM n'est pas à la
portée de tous mais en présence de ces symptômes,
la bonne conduite à adopter consiste à reconnaître
qu'il peut s'agir du mal aigu des montagnes et à agir en
conséquence. Tout ce qui n'est pas simple diarrhée,
toux et mal de gorge devrait être considéré
suspect et surveillé de près.
Cesser
immédiatement l'ascension
En présence des symptômes du mal aigu des montagnes,
il ne faut jamais poursuivre l'ascension. Il n'est pas non plus
nécessaire de redescendre immédiatement. S'il s'avère
impossible de s'arrêter parce que l'endroit ne le permet pas
et qu'il faut monter avant de redescendre afin d'atteindre un endroit
où l'on pourra passer la nuit, il faut s'assurer que la montée
ne sera pas excessive et que l'on ne dormira pas plus haut que l'altitude
où sont apparus les symptômes. Dormir plus haut entraînera
à coup sûr une détérioration de la situation.
Prendre
un temps de repos
Habituellement, en demeurant à la même altitude le
temps qu'il faut, les symptômes disparaissent graduellement
et l'organisme s'acclimate. On peut alors reprendre l'ascension
en étant attentif au rythme de la progression. Si par contre
les symptômes persistent, rester sur place ou poursuivre la
montée ne fera qu'empirer la situation et provoquera la phase
sévère du mal aigu des montagnes. Il est donc impératif
de redescendre à un palier d'altitude inférieur et
y demeurer pour permettre à l'organisme de s'ajuster avant
de reprendre l'ascension.
Diamox
(conseillé par le médecin de Pierrot qui en emporte)
Le diamox (acetalozamide)
peut atténuer les symptômes de la forme légère
du mal aigu des montagnes en améliorant la ventilation. Il
n'empêchera toutefois pas la progression de la maladie chez
celui qui, non acclimaté, poursuivrait la montée.
Est-il recommandé
de prendre du Diamox à titre préventif ? Les avis
sont très partagés sur cette question. Mieux vaut
donc opter pour une montée progressive.
Il est cependant
fortement recommandé d'apporter ce médicament que
l'on peut prendre en cas de besoin. Cela ne dispense pas toutefois
de stopper l'ascension dès l'apparition des symptômes
du mal aigu des montagnes (MAM).
Consultez votre
médecin ou une clinique médicale offrant des services
spécialisés en matière de soins aux voyageurs
afin d'apprécier les avantages et inconvénients de
ce médicament, le moment approprié pour y recourir
de même que la posologie indiquée selon les circonstances.
Prévention
Boire fréquemment
de l'eau en petites quantités favorise l'acclimatation à
la haute altitude : environ 3 à 4 litres par jour. L'urine
doit devenir presqu'incolore.
Passer la nuit
à une altitude plus basse que le maximum atteint durant la
journée et plus haut que celle de la nuit précédente
favorise l'acclimatation.
|
Mise
en altitude progressive
Lors
de notre trip, nous monterons au maximum (et dans la 6e étape,
donc après 6 jours d'acclimatation à l'altitude) à
4875 m.
* plus de détails sont donnés
dans les descriptifs des étapes : Cliquer
sur le nom (bleu souligné) de l'étape pour accéder
à la page de celle-ci (tous les descriptifs ne sont pas encore
disponibles et sont sujets à variations et mises à
jour)
Les
hébergements sont prévus afin de favoriser cette acclimatation :
-
1er jour - Lima
- 100 à 150 m
-
-
-
-
5e
jour - 4e étape : Huancaya - Concepcion - 3200
m avec passage à 4680 m, séjour de 30 km à
plus de 4500 m avant de redescendre.
-
6e
jour - repos dans la région de Huancayo/Concepcion -
3200 m
-
-
8e jour - 6e étape
: Huanta - Ayacucho - 2750 m, passage maximum à 3010
m
-
-
-
-
12e
jour - 9e étape : Huacachina - Pisco - 20 m
-
13e
jour - 10e étape - Pisco - Lima par le désert.
|

|

Rectangle foncé : la zone qui
nous intéresse.
Le pays
Le
Pérou est une république d'une superficie de 1 300 000 km²
environ (soit 2 fois et demi la France).
Population :
environ 30 millions d'habitants dont 9 millions vivent à Lima la
capitale.
Langue :
espagnol mais aussi quechua et aymara.
Monnaie :
Le sol (il faut environ 3,50 soles pour un euro)
Décalage
horaire : 7 heures avec la France en été, mais
en général, en dehors de Lima, on se lève tôt
(vers 6 h) afin de profiter de la journée, le soleil se couchant
vers 18 h – on n'est qu'à la latitude de 12° Sud donc
très proche de l'Equateur.
Courant
électrique : 220 V comme chez
nous et en plus, il n'y a pas besoin d'adaptateur, nos fiches rentrent
sans problème dans les prises péruviennes.
Climat :
tropical à l'est, désertique et sec à l'ouest. Ces
déserts côtiers sont provoqués par la présence
d'un courant océanique sud-nord, donc froid, qui remonte la côte
Pacifique
en
bloquant l'évaporation et la formation de perturbations pluvieuses.
Dans
les Andes
(chaîne de montagnes) le climat est tempéré à
froid en fonction de l'altitude. Parmi les volcans importants, on trouve
El Misti et Ubinas.
Le Huascarán,
qui s'élève à 6 768 mètres, est
le point culminant du pays dans la Cordillère occidentale.
Le
Pérou est situé en zone tropicale de l'hémisphère
sud (12° Sud). Nous serons donc en hiver, c'est la saison sèche
avec peu de risques de précipitations sur les Andes.
Les
températures sont à peu près celles de chez nous
à Lima et sur la côte pacifique, beaucoup plus fraiches,
c'est logique, en altitude.
Voir
le tableau des relevés de température en août 2011
pour la zone qui nous intéresse (les mini correspondent à
la nuit et les maxi à la journée):
Géographie :
On peut distinguer trois grandes zones naturelles :
-
la
« costa » (côte) bordée par l'Océan
Pacifique, 60 % de population, 10 % de superficie ;
-
la
« sierra » (montagne) 30 % de population,
30 % de superficie ;
-
la
« selva » (forêt d'Amazonie péruvienne)
10 % de population, 60 % de superficie.
Histoire :
les Incas occupent le Pérou de 1200 environ à 1532 année
de la conquête par Pizarro et les Espagnols.
Le
Pérou acquiert son indépendance par rapport à l'Espagne
en 1821.
En
1881, alors que les troupes chiliennes allaient s'emparer de Lima, un
contre-amiral français, Dupetit-Thouars, intervint pour éviter
un massacre et la destruction de la ville (il a une rue à Lima).
L'actuel
président du Pérou, élu en juin 2011 est Ollanta
Humala du Parti Nationaliste Péruvien (PNP), proche du Parti Socialiste.
Le président est élu pour 5 ans non renouvelables.
Le
Pérou est divisé en 25 provinces, elles-mêmes divisées
en régions.

Oasis
de Huacachina près d'Ica

Alpagas
sur l'altiplano
|
Evolution du projet, sa genèse - actualités
- infos - réflexions en direct côté péruvien...
|
mes questions
|
les réponses de Clément
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le 2/05/2011
J'ai travaillé sur un trajet pouvant aller
de Manchay à Huancayo (en 3 étapes de 100 à
120 km je pense)
J'ai utilisé Google Earth et Google map pour les chemins.
L'idéal serait de dormir dans le coin de
San Lorenzo de Quinti, au km 116
et ensuite vers Alis ou Tomas km 220
Il y a quand même un passage à 4200
m d'altitude et pas beaucoup de routes goudronnées.
Qu'en penses-tu ?
Sur Google Earth, il y a pas mal de photos, ça
a l'air assez sympa. Il y a une partie qui semble assez difficile
du côté des lacs, surtout qu'on est en altitude.
Ci-joint le plan partagé en tronçons
et le plan général.
|
Le 8/05/2011
J'ai regardé
plusieurs options et celle que tu me decris semble vraiment la plus
belle. J'ai demandé à quelqu'un de Huarochiri et il
ne savait meme pas que ces routes existaient !!!
De toutes
facon pour savoir s'il y a une route dans un coin c'est assez simple,
il suffit de voir si dans les photos de villages il y a des edifices
en briques. Si c'est le cas, c'est qu'une route existe !
En juillet
ou aout, je ferai une premiere boucle jusque très proche
de Huancayo. L'aller par une route et le retour par une deuxieme
option possible. Dans un deuxieme temps, il faudra que je reparte
vers la zone de la fin de parcours. Toute la partie de Ayacucho
se fera sans probleme, je connais le coin et il y a des petites
villes relativement régulierement.
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Le 9/05/2011
J'ai commencé à travailler sur le
trajet moto.
De Manchay à Huarochiri, c'est assez facile, Google Earth
est en gros plan et on voit très bien la route. a plusieurs
endroits, sur la route on distingue des 4x4 donc elle est carrossable.
Attention, il y a des passages à 3700 m d'altitude, ça
commence à faire.
L'étape Manchay - Huarochiri mesure 140 km ce qui, je crois
est un maximum sur des routes non revêtues avec des petites
motos.
Sur Google Earth, je balise et je trace le parcours tous les 10
km. (Je te mets quelques exemples de mon travail).
Ensuite, c'est moins facile, l'échelle des
photos de Google earth est moins bonne et il est difficile de distinguer
les routes, particulièrement à partir du lac de Tanta
sur le rio Cañete, pour aller rejoindre la carretera 22.
Là, il y a des passages à 4600 m, ce qui fait un peu
peur et le coin semble assez désertique.
La traversée de Manchay à Huancayo n'est pas facile
en évitant la Oroya.
Il faudrait ensuite faire encore 2 étapes
avant d'atteindre Huancayo, c'est à dire faire étape
vers Tinco.
J'ai pensé, pour les passagers... ne serait-il pas possible
d'aménager un moto-taxi avec des sièges confortables
: baquets, et de le rendre découvrable pour qu'ils puissent
profiter du paysage ?
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Le
10/05/2011
Malgré
les difficultés apparentes, je pense qu'il est plus sage
de passer par l'intérieur que par La Oroya. Par là
il y a un passage à plus de 5000m et des dizaines et des
dizaines de camions..
Il faut juste que je fasse une reconnaissance extremement serieuse
du terrain. Pour l'altitude, comme nous allons monter petit à
petit, il ne devrait pas y avoir trop de probleme. Les gens qui
vont en 4x4 par là-bas sont souvent des personnes de Lima,
qui ne marche meme pas 200m par jour. La restriction pour les gens
qui viendront, c'est aucun probleme cardio-vasculaire et tenter
de reduire les problemes de surpoids avant de partir...
Pour ce qui
est de la mototaxi, cela peut se faire, mais le side-car me parait
plus raisonnable. Si c'est une mototaxi, il va falloir que je travaille
dur sur le systeme de transmission et les vibrations qui sont le
probleme principal pour voyager loin. Sur ce type de terrain, une
mototaxi traditionnel ne dépasse pas les 20 km/h de moyenne.
Je travaille
plus precisement sur cela bientot.
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le 29/05/2011
J'ai travaillé sur une 2e étape possible
: Huarochiri - Tomas, environ 120 km
J'ai un "petit" problème au niveau du 3e lac vers
le km 60. le chamin semble plonger dans le lac et il est assez difficile
de trouver une alternative sur la photo actuelle de Google earth.
Petit rappel : afin d'être proposés
à des touristes, il faut que les parcours ne présentent
aucun risque - route en corniche trop étroite avec risque
de chute, chute dans le lac, passages de gués dangereux,
etc...
Il faut aussi que les villages étapes aient des possibilités
d'hébergement, de ravitaillement en essence, de restauration,
tout cela en toute sécurité.
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Le 30/05/2011
Par Tanta, il ne semble y a avoir aucun problème
du fait que les
constructions que l'on voit sont des prés pour les lamas.
La
multiplication de petits sentiers dans la zone vient du fait que
les
lacs sont des "apus" et chaque année s'y déroule
une fête. De fait,
pour le respect que les gens des villages alentours ont pour la
zone,
les routes doivent être étroites.
Pour ce type de coin, il est nécessaire de faire une bonne
reconnaissance. Je ne pense pas partir seul, j'ai déjà
dit à Wenselao
mon mécano d'apprendre à faire de la moto pour qu'il
m'accompagne.
En ce qui concerne le véhicule d'accompagnement, je vais
voir si je
peux homologuer une sorte de quad qui ressemble à un mototaxi.
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le 30/05/2011
Oui, effectivement, en passant plus au nord du 3e
lac il semble y avoir un chemin qui va vers Tanta, mais il ne m'a
pas l'air bien carrossable.
Je l'ai tracé grossièrement et te le joins.
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le 10/06/2011
En ce qui concerne la route, j'ai trouvé
un guide. L'un de mes clients de confiance qui vit un peu plus loin
que Huarochiri. Selon lui, il n'y a aucun problème pour aller
à Yauyos, il y a même des autobus qui font la liaison.
Par contre il faut aller avec tout le matériel anti-crevaison...
Il sait faire de la moto, dans l'optique d'une reconnaissance, je
lui proposerai certainement de m'accompagner.
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le 16/07/2011
Voici l'étape 2 dans son état actuel,
j'espère que ça passe du côté des lacs
car cette étape semble magnifique, au vu des photos sur Google
earth.
Je te joins le fichier à ouvrir dans Google Earth et le Roadbook
que j'ai préparé.
|
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le 15/08/2011
Je crois que j'ai trouvé quelque chose d'interessant
pour l'etape 2 :
Après avoir couche a San Lorenzo (2700 m d'altitude), on
redescend vers le sud. après avoir passe le village d'Omas,
on prend a gauche dans une vallee (vers Chilla mais on n'y passe
pas). ça fait 67 km mais je crois que ça passe. Je
t'envoie les images avec le parcours.
Cela permettrait d'aller jusqu'a Yauyos (où je suis sûr
qu'il y a un hotel - j'ai une photo) qui est a 2885 m d'altitude
ce qui permettrait de continuer a acclimater les participants avec
l'altitude.
Le parcours n'est pas tout simple car il semble
y avoir de nombreux chemins dont certains ne vont nulle part.
Il y a un passage a 4500 m du cote de Tauripampa mais il est assez
bref, on redescend assez vite, ce qui est bien.
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le 16/08/2011
je sais que cela passe entre San Lorenzo y Yauyos,
c'est la route que nous avions vue quand on a acheté la carte.
le 25/08/2011
J'ai enfin eu le temps de voir ce que tu avais
fait au niveau du parcours. Ca me parait intéressant de cette
facon. J'ai juste une petite suggestion. Si les deux boucles se
confirment, et si la première se passe sans problème,
pourquoi ne pas faire la deuxième dans le sens inverse et
ainsi profiter des superbes paysages des alentours de Huarochiri.
Il faudra juste évaluer le niveau de fatigue lors de la première
boucle.
Pour le parcours entre Huancayo et Ayacucho, je t'envoie un visuel
du parcours du rally Caminos del Inca, sur la carte on ne voit rien,
mais pour ce qui est des noms de ville traversées en dessous
ca va. Je l'ai fait deux fois et c'est vraiment superbe, la zone
la plus belle et plus variée des Andes péruviennes
que j'ai pu voir.
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le 29/08/2011
Pour les parcours du trip moto, je te remercie :
J'ai récupéré sur internet la carte que tu
m'a envoyée de l'étape 2 du rallye en meilleure définition,
je l'ai superposée avec Google Earth et tracé le parcours
sur celui-ci, (je te mets le fichier à lire avec Google Earth
en fichier joint)
A l'heure actuelle, mes étapes seraient celle-ci
:
1 - Manchay - San Lorenzo de Quinti (à côté
de Huarochiri mais un peu moins haut donc mieux pour une première
nuit) altitude 2700 m (Huarochiri - 3150 m)
2 - San Lorenzo - Yauyos (altitude 2900 m) - parcours Google Earth
ci-joint.
3 - Yauyos - Huancayo (ou village proche) (altitude 3300 m) - parcours
joint
4 - Huancayo - Ayacucho (altitude 2750 m) distance par ton parcours
environ 200 km - sur le tracé, je n'ai pas tracé les
derniers km de Huanta à Ayacucho mais ils sont évidents.
5 - Ayacucho - Huancavelica (altitude 3680 m) - au départ,
j'avais prévu Huancayo - Huancavelice - Ayacucho donc le
tracé est inversé mais c'est le même.
6 - Huancavelica - Huaytara (altitude 2700 m) Je ne l'ai pas encore
tracé la partie Huancavelica - Rumichaca mais cela semble
très intéressant et magnifique au vu des photos -
lacs, troupeaux d'alpagas, ruines incas dont le bas de l'église
de Huaytara.... Je te joins Rumichaca - Huaytara
7 - Huaytara - Ica - oasis de Huacachina - parcours joint
8 - Huacachina - Pisco et visite des iles Ballestas
9 - retour Lima-Manchay (J'ai récupéré le parcours
de la dernière étape du rallye, il faut que je voie
ce que ça donne par rapport à la Panamaricaine)
Je pense que le passage par Ica et le désert
est intéressant et permet de varier les paysages.
Il faudra, bien sûr, prévoir un ou deux jours de repos
où on pourra rouler, sans bagages, sur des petits parcours
pour aller visiter quelque chose. Cela ferait un trip de 10 à
11 jours pour un séjour total de 2 semaines au Pérou.
Je suis en train de mettre au point un site internet
autour du projet.
Il faut également penser à la sécurisation
des motos lors des étapes (faudrait pas qu'on nous les pique
!) de même, au niveau du stockage à Lima.
Sinon, j'ai bien avancé sur les cartes GPS
et ça a l'air très fiable, j'ai fait un essai lors
d'une balade moto au Tréport.
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le 1/09/2011
Pour ce qui est du parcours, à partir
de Ica cela ne sert pas à grand chose que tu superposes le
parcours des Caminos del Inca, car le rallye emprunte la Panamericana.
Durant ce retour à Lima, je pense que nous pouvons nous arreter
pour dormir a Chincha, lieu de la culture noire au Pèrou.
Il y a une tres belle hacienda pas tres loin dans le district de
El Carmen (http://www.escaners.info/Peru34.htm ou http://www.welcomeperutravel.com/espanol/hoteles-peru/ica-hoteles/hoteles-chincha/hacienda-san-jose.html).
Pour le retour a Lima, nous pouvons essayer d'eviter
la panamericana. Il faut que j'etudie cela, je connais un peu la
cote pour avoir couvert des rallyes dans le coin.
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le 2/09/2011
Effectivement la superposition du rallye pour le
retour Lima ne donne rien...
J'avais effectivement mis Chincha comme ville intéressante.
j'ai commencé à étudier un parcours retour
de Pisco à Lima qui éviterait, au moins partiellement
la Panamericana.
Pour les motos (il en faut 10 : 1 pour toi, une
pour moi et 8 pour nos touristes...). Il faut des motos fiables
et peu fragiles. Les bagages seront transportés dans des
gros sacs polochons étanches fixés sur le porte bagage
et le siège arrière avec un filet araignée.
Sinon, je continue je fabriquer mes cartes GPS (j'ai
testé lors d'une balade en Normandie, ça marche bien
et c'est précis. actuellement l'affichage sur l'écran
GPS correspond à une carte au 10 000 environ soit 1 cm pour
100 m, ce qui est très précis.) On emportera 2 GPS
: un en fonctionnement et un en réserve en cas de problème
avec le premier.
Je crois qu'au niveau des parcours, on arrive à
quelque chose d'acceptable et sympa. je t'enverrai prochainement
un récapitulatif.
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le 4/09/2011
Pour ce qui est d'un véhicule d'accompagnement,
j'ai dessiné un mototaxi amélioré : moteur
central, transmission par chaine unique aux deux roues arrières,
meilleure répartition du poids pour éviter les risques
de retournement, arceau cage, etc. Equipé d'un moteur 250cc,
il devrait pouvoir suivre les motos les plus lentes sans soucis,
porter un certain nombre de bagages et pouvoir évacuer un
blessé couché en cas d'urgence.
L'esquisse générale est faite, il me reste à
commencer le dessin définitif du chassis et valider certaines
solutions techniques : différentiel arrière type quad
introuvable au Pérou, fourche avant.
En soit un véhicule type quad serait meilleur, mais ils ne
peuvent pas encore être immatriculés au Pérou.
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Le 08/09/2011
Je te joins les dossiers Google Earth. Attention,
mes numéros d'étapes ne sont pas les mêmes que
les tiens car je n'ai pas découpé l'étape 1
et je n'ai pas inséré la journée de repos.
Effectivement, couper la première étape en deux peut
être intéressant et permettrait de partir en début
d'après-midi. j'avais repéré Antioquia comme
ville intéressante.
Manchay - Antioquia : 58 km
Antioquia - San Lorenzo : 95 km
Je pense qu'avoir une étape un peu marathon
(mais non insurmontable) comme Huancayo - Ayacucho n'est pas mal,
on vient quand même pour faire de la moto.
Je serais assez favorable à une ville proche de Huancayo
car l'hôtel y est quand même beaucoup moins cher : le
maison coloniale avec son patio... me va très bien.
En ce qui concerne un 4x4, j'ai affiné la
recherche et il faut faire attention car souvent quand on tape Lima
dans la recherche, il bascule sur Lima aux Etats-Unis !!!! Donc
ce que je t'ai donné l'autre jour est faux.
Enfin, j'ai trouvé chez Europcar ou AutoEscape
(qui travaille avec Europcar entre autres)
- Un Suzuki grand Vitara pour 2 semaines et 2600 km
- Un Hyundai Tuxson et 2600 km
(notre périple fait à peu près 1600 km) auxquels
il faut ajouter le carburant (environ 250 litres soit 400 euros)
Il suffit d'avoir 3 personnes à mettre dedans pour le rentabiliser.
Mais je pense qu'au niveau pratique et sécurité, ce
ne serait pas négligeable - En ce qui concerne les 2 trips
prévus, on peut également toi et moi se relayer à
sa conduite ce qui ferait une moto de moins, à voir.
L'étape Huancavelica - Huaytara emprunte
la route goudronnée dans sa deuxième moitié
soit 85 km entre Rumichaca et Huaytara et ne devrait donc pas être
trop fatigante. Cette étape semble très intéressante
car on doit y voir des lamas, des alpagas, des ruines incas...
Voilà. Je suis content, notre projet progresse bien et on
reste dans le budget.
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Le 08/09/2011
Voici ce qui, je pense, devrait représenter
la base idéale pour le parcours. Je t’ai mis en bleu les
modifications par rapport à ta proposition de l’autre jour.
Reste à trouver de bons hôtels.
1
– Manchay – Antioquía (1500m) env. 50km
2 – Antioquía – San Lorenzo
de Quinti (2700m) env. 50km (matinée sportive ou culturelle
à Antioquia, possibilité de commander du fromage qui
sera livré à Lima)
3 - San Lorenzo - Yauyos (altitude 2900 m) 188km
4 - Yauyos - Huancayo (ou village proche) (altitude 3300 m) 155km
5 – Journée libre ou visite
de piscicultures aux alentours de Concepción
6 - Huancayo - Ayacucho (altitude 2750 m) 240km
7 - Ayacucho - Huancavelica (altitude 3680 m) 180km
8 - Huancavelica - Huaytara (altitude 2700 m)
9 - Huaytara - Ica - oasis de Huacachina - 119km
10 - Huacachina - Pisco et visite des iles Ballestas
– El Carmen spectacle de danse « noire
»(si la casa Hacienda est réouverte au public)
11 - retour Lima-Manchay
Pour la nuit de l’étape 4 : il y a plusieurs
hôtels de bon standing à Huancayo du fait de la proximité
de l’industrie minière. Je connais également un hôtel
plein de charme (maison coloniale avec son patio) dans une petite
ville proche. A vous de décider, je pense qu’il est également
intéressant de découvrir à quoi ressemble une
ville de province au Pérou. Au niveau des prix, dans la petite
ville, c'est beaucoup moins cher qu'à Huancayo.
Les étapes 6, 7 et 8 vont faire mal pour
leur longueur et les altitudes atteintes.
Je pense que l’étape Huancayo – Ayacucho
va représenter environ 10h de voyage. Départ impératif
à 5H du matin. A voir comment résistent les organismes.
Il faudra de toute façon savoir gérer à la
fois les motos et les personnes, car je me souviens que certaines
zones de la deuxième partie sont assez délicates avec
des rigoles d’eau séchée. Là, un 4x4 aiderait
beaucoup vu que nous pourrions enlever l’ensemble des bagages des
motos des personnes les moins habiles. Quoi qu’il en soit la route
reste carrossable vu que des Honda Civic N2 (voitures de rallye
proches de la série) passent.
En cas de fatigue extrême on court-circuite Huancavelica,
mais ce serait dommage car c’est une zone où personne ne
va. C’est aussi l’une des régions les plus pauvres du Pérou
en ce qui concerne la population mais extrêmement riche en
ce qui concerne son sous-sol. Dans une optique de tourisme différent,
il est aussi intéressant de visiter des régions un
peu oubliée.
Voilá oú j'en suis, je vais rechercher
des hotels maintenant et voir des routes possibles pour, pourquoi
pas, commencer dès l'été péruvien avec
des touristes nationaux...
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Le 14/09/2011
Bonjour,
Rapidement, je vais voir les etapes ce jeudi.
En attendant, qu'est-ce que tu dis de
cet hotel pour preparer la dure journee qui suit Huancayo?
Je vais voir si á Antioquia on peut dormir chez l'habitant.
Pour ce qui est de San Lorenzo et Yauyos, il faut s'attendre á
un confort un peu rustique.
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21/09/11
Bonjour,
Une petite
question :
Je me demande si on ne devrait pas scinder la grande étape
Huancayo - Ayacucho en 2, surtout si on dort à Concepcion
(l'hôtel que tu as proposé), c'est 15 km au nord de
Huancayo donc ça allonge encore et ne permet pas la visite
d'Ayacucho.
Par exemple en s'arrêtant à Huanta, ce qui ferait environ
200 km pour la première partie et une cinquantaine pour la
seconde ce qui permettrait de visiter Ayacucho l'après-midi.
Surtout que l'on a à nouveau deux étapes assez longues
les 2 jours suivants (environ 200 km chacune).
Qu'en penses-tu ?
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14/10/11
Sinon pour
ce qui est du voyage, je pense que l'idée de fragmenter l'étape
vers Ayacucho est bonne, ou peut-etre pouvons-nous faire un jour
de repos/visite a Ayacucho. La seulle chose étant de penser
le concept du voyage. Actuellement nous sommes sur un concept de
voyage qui correspond à 15 jours de vacances française
pour ceux qui feront que de la moto. Nous pouvons passer á
quelque chose qui soit du genre 3 semaines ou un mois de vacances
françaises, et nous offrons la possibilité de visiter
le Machu Picchu. Pour des gens déjà acclimatés,
cela se fait en trois jours par avion. La difficulté de cette
dernière option étant de prévoir la visite
avec une agence de voyage digne de confiance, car le nouveau gouvernement
va certainement limiter le nombre d'entrées pour préserver
le site. Imagine le bordel que ça va etre là-bas les
premiers mois !!!
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18/10/11
Bonjour,
Voici une
sorte de chronogramme du voyage avec des hotels et les visites possibles.
C'est très partiel, je vais continuer à le faire mercredi.
Il y a un
peu de tout : de l'archéologique, de la pisciculture, des
animaux (Paracas), de l'archéologique en dehors des chemins
(l'extérieur d'une mine, on peut le compléter avec
la projection d'un documentaire le soir, car cette mine est liée
avec Oruro en Bolivie), du amusant (des eaux thermales), de l'histoire
(Ayacucho : l'indépendance du Pérou), du fromage,
du sport et je pense demander à Erika de voir comment on
pourrait faire un truc avec des danses à Lima sans forcément
aller au Brizas du Titicaca qui est devenu un lieu un peu trop touristique
selon ce que j'ai lu dernièrement.
20/10/11
Avec
ce que tu as mis sur internet et le chronogramme, nous avons un
parcours semi-définitif. Je pense que la suite à donner
est de tester sur le terrain.
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20/10/11
- Effectivement,
le projet commence à prendre forme d'une façon définitive
et concrète.
Les points d'ombre restant
- le passage de San Lorenzo à Yauyos dans sa deuxième
partie après Omas vers Tauripampa.
(surtout, ne prends pas de risques si tu vas reconnaitre, et n'y
va pas seul - ne te perds pas)
- Les hébergements dans les petits patelins comme San Lorenzo.
Le prix, je
pense qu'avec 1500 /personne, on passe sans problème
et on est largement en dessous des prix pratiqués par ailleurs.
(voir le budget que je t'avais envoyé).Les motos doivent
être très fiables et supporter l'altitude.
Pour ce qui est des inscriptions, je compte demander confirmation
définitive avec un acompte de 30 % avant la fin de l'année.
Actuellement, en pré-inscrits, j'ai 12 personnes par le forum
DL650.org et 6 à 8 personnes par Vauracon. Il n'est pas évident
que tout le monde confirme (mais une grande majorité, c'est
certain car beaucoup ont déjà fait les démarches
administratives (permis, passeport...) et je pense équillibrer
les 2 groupes en demandant à des gens du forum (Olivier et
Richelieu par exemple de se joindre au groupe Vauracon).Dans les
inscrits, je ne parle que des motards pas des accompagnateurs (trices)
pour le moment.Il faudra qu'on rédige le contrat d'engagement
(en s'inspirant des modèles existants).
Si tu te maries le 4 août ce qui ne serait pas mal :
Que penses-tu du premier trip du dimanche 15 (J1) au dimanche 29
juillet (J15) inclus ce qui laisse une semaine pour la préparation
du mariage (et la révision des motos)
et le second du mardi 7(J1) au mardi 21(J15) août inclus
(Le 4 août est une date symbolique - 4 août 1789 : abolition
des privilèges)
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02/11/11
Pour ce qui
est du voyage, pourrait-on reculer la date du second voyage de 2
ou 3 jours, car si Mamie et tata viennent je voudrais passer un
peu de temps avec elles.
Le problème que je rencontre en ce moment, c'est qu'il n'y
a plus de moto XL en vente à Lima, alors que nous aurions
besoin d'en acheter une ou deux et de les fiabiliser pour faire
les premières reconnaissances.
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02/11/11
Pour le second
voyage on peut mettre le départ au jeudi 9 août au
lieu du mardi 7, mais si possible pas après car cela va m'obliger
à rester au Pérou du 14 juillet au 24 août,
c'est très long ! J'ai laissé une semaine avant le
mariage pour qu'on se repose du premier voyage.
ça ferait donc du dimanche 15 (jour 1) au dimanche 29 juillet
(jour 15) pour le premier tour
et du jeudi 9 août (jour 1) au jeudi 23 août (jour 15)
pour le second.
Je mets mon site à jour dans ce sens
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09/11/11
Les dates sont
très bien comme ca. Ces dernières semaines j’ai réfléchi
au sujet des motos. Finalement je me dis qu’acheter des Honda est
peut-être une fausse bonne idée pour l’instant.
Je m’explique.
Les XL185 qui sont dans nos ordres de prix sont des motos assez
âgées. Il faut donc trouver des perles rares, car sinon
cela peut se traduire par une avalanche de problèmes. Bon
ça se règle vite sur une moto aussi simple mais cela
a un coût. Et si le châssis est touché, on perd
ce que l’on cherchait.
Comme je te
l’écrivais, les perles rares se sont vendues ces derniers
temps, avec les contacts que j’ai, je pourrais trouver facilement
des motos, mais ce sont généralement des anciennes
motos de la Police qui ont été maltraitées.
Une alternative
à cela :
Dernièrement
le fournisseur où nous sommes allés à Miraflores
a reçu le genre de moto que je t’envoie en fichier joint
(la rouge). Ce sont des copies en 200cc de la Honda Bros 250 que
les agences utilisent à Cusco.

C’est une moto
chinoise, qualité moyenne-haute. Le gros point noir de cette
moto, c’est le mono-amortisseur, on peut le changer pour un Honda
et on reste encore dan nos prix. Un autre petit problème
peut être la valve d’admission, mais cela se change très
facilement et si je me charge du rodage il n’y a à priori
aucun problème de ce côté. Je vais réfléchir
un peu pour voir les points à améliorer.
Je pense que,
bien préparée, cette moto sera plus fiable que la
majorité des XL185 d’occaz. Le tout étant de la tester.
Au niveau de la maniabilité à basse vitesse, elle
est très bonne et la stabilité est bonne à
vitesse moyenne. J’ai pu tester la moto d’un client.
En parallèle,
pour les femmes ou les personnes qui ont peu d’expérience,
je pense pouvoir assembler des motos un peu vintage et plus basses
(cela peut-être utile pour les gens qui souffrent de vertige
dans les passages avec ravin). Je vais m’en faire une avec des pièces
de la boutique, et je vais tester. Je voudrais que le résultat
ressemble un peu à ce que je t’envoie en fichier joint. Nous
avons déjà fait une moto comme ça pour un client.
Malheureusement, je n’ai pas pu la conduire pour voir comment elle
réagissait.

Avec ce choix,
sans grands risques financiers, nous aurions d’assez bonnes motos.
Pour les grands ou gros gabarits, je peux également passer
une des motos neuves en 250cc (j’achète un moteur 250 neuf
et je lui mets le carter du 200cc pour ne pas avoir de problème
de papiers et donc d’assurance, le 200cc original je le vends pour
pièces : il y a une épidémie de volant moteur
sur les 200cc chinois en usage intensif et c’est une pièce
introuvable). Sinon on voit en mai/juin pour acheter une Honda Bros.
Un autre avantage
des motos chinoises, est que je peux les réserver pour mai
ou juin et ils me les livrent quand je le désire. Histoire
de ne pas garder 8 motos durant 6 mois dans la boutique…
Bref ce sont
des idées. Espérons que si nous suivons cette voie
elle s’avèrera le meilleur choix.
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26/11/11
En ce qui concerne
les motos, j'ai fait un petit tour aujourd'hui des fournisseurs
et j'ai trouvé une très bonne alternative à
Honda. Si mes finances s'améliorent pour payer le surcoût,
je pense d'ailleurs que nous devrions faire moitié-moitié
de motos dont je t'ai déjà parlées et cette
dernière alternative:

L'entreprise
tourne très bien et fonctionne justement à l'ancienne
(sur leur page web ils disent qu'ils ont commencé à
vendre des motos en 1951 pour que la "classe ouvrière"
péruvienne puisse se "mobiliser" à moindre
coût!). J'ai un client qui possède une moto de cette
marque et la qualité est très proche de Honda (qui
fabrique aussi en Chine). Il me semble que les modèles en
lien sont des copies de la Suzuki DR200 mais compatible Honda et
chinois. La marque est également connue pour être l'une
des pionnères (ou inventeur) de la mototaxi péruvienne.
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26/11/11
Elles ont l'air pas mal ces 2 motos. La première
(Vertigo) a un réservoir de 11 litres ce qui permet plus
d'autonomie que le 8 litres de l'autre (Cavalry) trop juste.
125 kg, on va avoir l'impression de rouler à vélo
!!! :-) .
Je pense qu'il ne faut pas non plus multiplier les types de motos.
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29/11/11
Pour compléter ce que je t'ai dit rapidement
l'autre jour.
J'ai bien regardé les deux types de moto
que je te propose d'acheter (Mavila et Cycler) et au final les différences
sont minimes. La plus notable est le moteur: l'un a une chaine de
distribution et l'autre des renvois (je en sais plus comment on
dit en francais). Quoiqu'il en soit, la boite, l'alternateur (qui
est ce qui est le plus vulnérable), le kick, l'embrayage
sont identiques. Les fourches diffèrent également,
mais il me semble qu'elles soient interchangeables et si ca ne l'est
pas il reste la possibilité de changer la fourche avec les
V de sustentation dans n'importe quelle ville du Pérou..
Sinon toutes les autres pièces vitales sont identiques à
part la jante et donc le pneu arriere. Là encore, il n'y
a aucun problème, car le moyeu doit être le même
et l'une des motos (la Mavila) a une roue de 17 pouces seulement
pour la rabaisser (il ne faut pas oublier que les péruviens
ont des petites jambes! D'ailleurs la moitié des motos tout-terrain
de Lima sont rabaissées de l'arrière...). Je pense
que si nous achetons 5 motos, il sera possible de demander qu'ils
nous les passent en 18 pouces. Le fait est qu'en ce qui concerne
les Mavila, la moto idéale serait un mix des deux modèles,
à voir ce qu'il est possible de faire. Ou alors nous négocions
la baisse commerciale du prix contre une hybridation.
L'avantage d'acheter ces deux types de moto, est
de pouvoir comparer la qualité et en cas de problèmes
que cela n'affecte pas tout le parc.
Pour ce qui est du poids, je pense que les motos
doivent peser une bonne dizaine de kilos de plus que le poids afiché.
Mais bon il est vrai que le moteur ne pèse qu'environ 35
kg. La moto que j'ai montée ne doit pas dépasser les
80 kg! Pour des motards normaux, je ne vois d'ailleurs pas l'avantage
d'aller en altitude avec une BMW super lourde. Ce que tu gagnes
en confort, tu le dépenses en énergie à chaque
passage difficile et en cas de maladie chaque arrêt peut devenir
un cauchemar. En outre pour le cas d'un parcours comme le nôtre,
la puissance du moteur ne me semble pas très importante.
Le fait est qu'il va tout de même falloir évaluer le
niveau de confort de nos motos pour les grands gabarits. Et pour
ca, je n'ai personne sous la main!!! Un des problèmes récurrent
des motos chinoises est la dégradation des sièges.
Je vais essayer de travailler là-dessus, mais je ne crois
pas qu'il y ait beaucoup de selliers très compétent
dans le domaine au Pérou.
En ce qui concerne les premières reconnaissances. Je vais
pouvoir avoir des papiers pour la moto que j'ai préparée.
De toute facon, il n'est pas possible d'acheter une moto avant l'année
prochaine, car mes papiers péruviens ne seront prêts
que dans un mois et nous n'allons donc pas pouvoir ouvrir un compte
avant 2012 probablement. Avec Erika, nous ne connaissons malheureusement
personne au ministère des migrations et comme cela reste
la règle au Pérou, sans corruption tu attends le bon
vouloir des fonctionnaires...
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29/11/11
Ok, l'idée des 2 types de motos me semble
bonne.
En ce qui concerne les selles, je ne pense pas que
nous les dégradions en 3000 km (total approximatif des 2
tours).
Pour les reconnaissances, je me répète,
mais sois très prudent, surtout lorsqu'on sort des sentier
battus comme pour la troisième étape : zone assez
déserte en altitude avec surtout des chemins où il
y a un risque de se perdre sans GPS. Surtout après Omas,
dans une partie d'une petite dizaine de km entre ce qui soit être
Tauripampas je pense et Allauca, le chemin n'est pas très
bien tracé. Il ne faudrait surtout pas y aller seul. je vais
essayer de t'envoyer un parcours super détaillé de
cet endroit.
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30/11/11
Pour les reconnaissances. J'espere avoir les papiers
de la moto pour le nouvel an, afin d'aller a Antioquia. Nous n'irons
pas a San Lorenzao car le climat est mauvais en cette periode de
l'annee. Je veux absolument aller a Antioquia pour essayer de monter
quelques WE de test avec des gens de Lima la-bas entre mars et mai.
Pour la reconnaissance de Yauyos, nous irons a deux avec Wenseslao
mon mecano. C'est un type bien et surout qui ne boit pas (ca a son
importance au Perou...).
En ce qui concerne les sièges, je ne pensais
pas tant à l’intégrité de l’accessoire, mais
plutôt à vos petites fesses. Je doute en effet que
les sièges originaux suportent la comparaison par rapport
à ce dont vous êtes habitués comme niveau de
confort.
Pour (presque) terminer le chapitre moto. Une chose
qui me préoccupe est le stockage des motos. Il y a différentes
options, mais elles reviennent toutes à environ 350 ou 500
soles par mois (100 à 140 euros). Je ne veux pas garder les
motos à la boutique car nous manquons déjà
d'espace et depuis que mon voisin est mort, ce n'est plus aussi
sûr qu'avant.
La première serait de louer une place de
parking près d'où nous vivons, c'est assez sûr
mais les motos seraient exposées aux intempéries et
à la vue des passants. Environ 300 soles par mois.
Une deuxième option serait de louer un emplacement
dans un lieu sûr à Manchay, mais de la même facon,
les motos même recouvertes ne seraient pas très bien
protégées. Environ 150 soles par mois.
La troisième option qui me semble la plus
viable, serait de louer un local qui est à trois maisons
de la boutique. A côté de la quincaillerie, où
il y a les pelleteuses. La propriétaire est une des soeurs
de la personne qui me loue la boutique. Elle loue actuellement un
local contigu au lieu où elle garde ses machines. Autant
te dire que le lieu est très sûr vu que dans la cour
dorment plusieurs dizaines de milliers de dollars.
Actuellement le local est en location pour 500 soles
par mois, ce qui était le prix il y a 6 mois, mais qui est
un peu cher maintenant du fait que le commerce soit un peu dur dans
la zone. Ce que je pensais faire était la chose suivante,
à voir si tu es d'accord: voir avec la propriétaire
si elle peut me louer le local à partir du 1er février.
Pour le réserver, je lui donnerais une avance de 300 soles
vers le 10 décembre (il n'y a aucun problème de confiance).
Afin de rentabiliser le local, je voudrais mettre
en place un commerce de vente de motos et de groupes électrogènes
neufs et d'occasion, dépot/vente de motos d'occasion et location
d'un espace au mur pour des annonces de vente de toutes sortes.
Je séparerais le local en deux avec une fausse cloison de
fond afin de cacher les motos entreposées. Je pense utiliser
une des motos Cycler comme exemple de vente et investir moi-même
dans deux autres types de motos neuves.
J'ai fait de rapides calculs, et même dans
le cas où le commerce est un flop, 500 soles durant 5 ou
6 mois, ce qui pourrait être la facture en cas de mauvais
entreposage des motos (vol ou dégradations). Cela me donne
surtout l'assurance de pouvoir contrôler moi-même les
conditions de stockage des motos, qui en plus seront prêtes
sur le lieu de départ de la balade. En outre, on peut reculer
la date d'acquisition des motos, mais il serait plus raisonnable
de les avoir à la mi-mai, car les importateurs sont périodiquement
en rupture de stock au Pérou...
Si cela te semble bien, je commencerais en février.
Fin décembre et tout janvier, je vais probablement travailler
comme coursier pour des restaurants du quartier où on habite
afin de mettre de l'argent de côté pour investir.
A terme, je souhaiterais devenir distributeur de
la marque Mavila car ils ont une offre de mototaxi qui correspond
parfaitement à Manchay et qui compte avec l’appui de banque
pour les ventes à crédit..
Pour ce qui est de la matinée de préparation
du voyage, je pense avoir trouvé un restaurant pour déjeuner.
C'est très propre et beau et c'est à Manchay, c'est
un client et il est toujours très correct avec nous (je lui
répare de temps en temps la chaine de son four rotatif).
Il fait des grillades, un de ces jours j'irai manger pour tester.
Nous pourrions organiser le jour de la facon suivante:
- départ 7 heures de l'hôtel (ou plus
tôt car la plupart vont se réveiller tôt du fait
du décalage horaire)
- Arriver 8H-8H30 à Manchay.
- 8H30-10H30 : Tour de prise en main des motos.
Répartition des paquetages entre le véhicule et les
motos (je vais voir si je peux faire de belles galeries postérieure
pour les motos. Si tu as des fotos de porte sac latéraux
et arrières fais-moi signe). Le top serait que tout le monde
ait un petit espace réservé et organisé dans
le 4x4 (des caisses en plastique ?) de sorte que les moins bien
organisés ne détruisent par le rangement des plus
maniaques...
- 10H30-11H30 : petit tour en mototaxi pour découvrir
le quartier de Manchay et les conditions de vie de ses habitants.
- 11H30-13H : arrivée au restaurant et déjeuner.
Grillades ou jus de fruit consistant pour les malades. Dernière
grosse commission... je ne sais pas si nous aurons l'eau courante
à la boutique.
- 13H-13H30 : retour aux motos (la boutique sera
fermée ce jour-là et les motos entreposées
à l'intérieur).
- 13H30-14H : Derniers réglages et départ
- 16H30-17H : arrivée à Antioquia
Voilà où j’en suis pour le moment.
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01/12/11
Les sièges ? Les étapes ne sont pas
trop longues, surtout au début, le temps d'avoir le cul tanné
! Pour les postérieurs très sensibles, on peut toujours
emporter quelques plaque de mousse à la dimension que l'on
pourrait fixer sur les sièges... De plus, les arrêts
étant assez nombreux, on n'a pas le temps d'avoir mal.
Effectivement, le stockage des motos et leur sécurité
me préoccupent également. La troisième idée
me semble également la plus viable, surtout si tu arrive
à rentabiliser la location par de la vente. En parlant de
sécurité, il faudra également prévoir
un système d'immobilisation des motos pendant la balade (chaine
ou barre plus U ou cadenas...).
Quant au programme du premier jour, il me semble
intéressant.
Je te prépare en détails le parcours de la partie
de 3e étape entre Omas et Yauyos, ne pas perdre de vue qu'un
4x4 doit passer en toute sécurité - au niveau du 4x4,
il faudrait se renseigner sur la possibilité de louer un
4x4 pickup (prix ?) ça serait pratique en cas de panne).
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23/12/11
Afin de poursuivre mes recherches et réserver
certains hôtels clés, j'ai besoin de savoir comment
les gens veulent être répartis. Je m'explique, s'il
y a la possibilité d'avoir des chambres de quatre si les
personnes sont d'accord pour partager une chambre. J'imagine que
les couples voudront être dans une chambre à deux ou
s'ils sont d'accord pour partager, qu'ils le fassent savoir. Du
fait de la baisse de l'Euro, nous n'avons plus la même marge
de manoeuvre en ce qui concerne l'hébergement. Je veux donc
rester dans un standing acceptable d'hôtel, tout en contenant
les coûts et profiter de la nourriture locale.
Pour Ayacucho, je pense me limiter à des
chambres de deux personnes afin que chacun puisse se reposer tranquilement.
J'ai également fait une simulation de l'essence
que nous aurons à emporter. La difficulté réside
dans la première partie, qui nous obligera à emporter
un plus de 200 litres en dehors des réservoirs des motos.
Quand j'achèterai la première moto, j'affinerai tout
cela.
Je veux préparer le mieux possible la logistique
dès maintenant pour employer les mois qui viennent à
peaufiner les détails.
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23/12/11
Quand on fait des balades, aussi bien avec le forum
qu'avec Vauracon, on est souvent hébergés dans des
bungalows où on occupent toutes les places dispo, c'est à
dire 6, donc la vie communautaire ne nous fait pas peur.
En juillet, il n'y a qu'un seul couple : Gégé45 et
Marie Laure, il y a également un participant qui ne supporte
pas les ronfleur et est prêt à prendre en charge un
surcoût éventuel d'une chambre individuelle ou à
deux avec quelqu'un ne ronflant pas, comme moi.
En août, il y a Ambroise et Valérie et Olivier et Marie-Laure.
et peut-être maman et moi.
Je pense qu'on peut mettre deux couples dans la même chambre.
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02/01/12
Sinon, j'ai
trouvé un hôtel pour les nuits à Lima, ou plutôt
j'ai définitivement confirmé l'hôtel auquel
je pensais dans un premier temps. Voici sa page web : http://hannoverhostel.net.
C'est très familial et la personne qui m'a recue est très
sympathique et semblait être l'un des propriétaires.
Les prix sont aux alentours de 8 à 10 euros la nuit, ce qui
nous laisse une petite marge de manoeuvre dans le budget. L'hôtel
se trouve à 100m de la maison où nous habitions à
Magdalena
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06/01/12
Je
t'envoie un fichier dans lequel j'ai constitué les chambres
pour Lima et Huancayo (le dernier onglet)!. Je pense que nous devrions
finalement réserver les chambres également pour la
nuit du 14 au 15, afin que chacun puisse prendre le petit dej à
l'hôtel et se reposer jusqu'aux alentours de 11H. Avec un
horaire d'arrivée à 5h du mat' (arrivée 7h30-8h
à l'hôtel), on peut raisonnablement envisager une visite
soft du centre de Lima dans l'après-midi du 15. Dis-moi ce
que tu en penses avant mercredi matin, car je vais profiter d'avoir
un peu d'argent pour réserver l'hôtel ce jour-là.
J'ai
aussi fait une liste de vêtements rapidement, dis-moi ce que
tu en penses, en sachant que pour Huancayo ou Ayacucho nous aurons
une halte obligatoire lavage de vêtement. J'espère
que ce sera possible dans les hôtels. Dans la semaine, je
vais faire un essai de volume en prenant pour base cette liste.
En
ce qui concerne le casque, met en exergue que la visière
doit être absolument anti-UV et blanche. Si cela est nécessaire
chacun rajoute en dessous des lunettes de soleil. Pas de visière
fumée ou teintée dans la mesure où la luminosité
change en permanence en montagne. Ceux qui le désirent peuvent
utiliser des lunettes jaune, mais elles doivent impérativement
être anti- UV. Aux altitudes que l'on va atteindre, il ne
faut absolument pas jouer avec les yeux. La crême solaire
peut également faire rire, mais là-haut ca crame dur....
et chose que l'on ne sait pas en France, le soleil ca fait mal...
Je
prépare également une petite présentation du
Pérou depuis l'intérieur et un petit guide de conseil
pour bien se préparer. Un truc important me paraît
être la nourriture. Penser à s'habituer à manger
du riz assez sec les semaines avant le départ, car avec les
changements d'altitude constant plus le rythme alimentaire qui change,
les boyaux risquent devenir des cornemuses...
Voilà,
je me remets peu à peu au travail pour le voyage.
Pour
les outils, je te ferai une petite liste de choses que l'on ne trouve
pas ici ou sinon très chers. Je pense que cela commencera
par des démontes-pneu de bonne qualité, car comme
de bien entendu nous aurons certainement une seule crevaison à
déplorer, mais avec la personne la plus fatiguée et
le plus mauvais jour !!!
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07/02/12
C'est
pas la peine pour la nuit du 14 au 15 juillet, ils auront dormi
dans l'avion, tout le voyage se fait de nuit et 5 h 10, ça
fait midi pour nous alors, on n'a pas envie de dormir. En général,
pour moi, c'est le voyage retour le plus dur. Au fait Pierrot a
également son billet, le même que les autres.
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10/03/12
Aujourd'hui j'avais décidé
de prendre ma journée, j'ai donc pu avancer les choses pour
le voyage.
J'ai envoyé le mail de réservation
pour Concepción et Ayacucho. J'attends la confirmation de
l'agence qui m'a assuré ce matin que les chambres étaient
disponibles. Je te copie tel quel le courrier pour que tu vérifies
les dates. Exonéré d'IGV veut dire exonéré
de la TVA, sauf la chambre dans laquelle je me trouve car comme
je réside au Pérou je dois la payer et ma situation
prime sur celle des autres occupants.
Hotel Huaychulo:
- 1 matrimonial exonerada de IGV, 1 triple exonerada y 1 triple
precio normal para las siguientes noches: 20/07/2012 y 21/07/2012
- 2 matrimoniales exoneradas, 1 triple exonerada y 1 triple precio
normal para las siguientes noches: 14/08/2012 y 15/08/2012
Ayacucho Hotel plaza:
- 1 matrimonial exonerada, 1 triple exonerada y 1 triple precio
normal para la siguiente noche: 23/07/2012
- 2 matrimoniales exoneradas, 1 triple exonerada y 1 triple precio
normal para la siguiente noche: 17/08/2012
Du fait de l'exonération
il est certainement plus rentable de payer depuis le Pérou
(environ 15% de moins).
Pour ce qui est d'Ayacucho, je ne
me fous pas de vous. C'est l'hôtel où doit loger le
président quand il va dans la région....
Voilà les choses avancent,
prochaine étape, les hôtels qui manquent. Je pensais
réserver de la même facon Huacachina, mais là
on explosait le budget. Je vais donc voir d'autres options en sachant
qu'Ica n'est pas si loin et que je peux donc me déplacer
pour constater moi-même les lieux. Le fait est que Huacachina,
si ce n'est pas dans un bel hôtel, c'est un peu trop festif,
avec du tourisme de masse pas très intelligent.
Je vais aussi voir pour règler
le plus vite possible mon problème de permis*. Ce qui va
me bloquer la semaine prochaine est mon dernier rappel de la rage...
* Un résident permanent
au Pérou doit repasser un permis local ! Sauf s'il est membre
de l'ambassade !
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16/04/12
Bonjour,
Le transfert est bien arrivé, à un
taux un peu plus faible que le précédent (1% de moins).
Mais bon ca reste bien plus rentable que d'amener des Euros...
Sinon j'ai loué un véhicule. On aura
un Pick-up ! Je l'ai finalement loué chez Avis qui est tout
petit au Pérou mais donne de bons prix. Je perds 500 dolars
par rapport au Jimny mais c'est quand même plus sûr.
D'autant que j'ai rencontré un photographe de EFE qui est
prêt à nous accompagner pour faire un reportage. Je
ne sais pas quelles seraient ses conditions au niveau des repas
et hôtels mais au moins avec le pick-up on a la possibilité
de l'inclure pour la 2ème boucle si j'arrive à un
accord avec lui.
Voilà les nouvelles, la deuxième moto
est arrivée à la boutique. Elle est noire, et demain
je récupère mon permis moto et la plaque de la moto.
Bon je file pour mon second travail de la journée.
Ce matin ca a été matinée comptes...
Clément
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16/04/12
Bonjour,
Le pickup est une bonne idée. Est-ce un 4
places (double cabine) ? sur la deuxième boucle, il y a Marie-Laure
comme passagère permanente.
Le photographe n'est intéressant que s'il coûte 0 euros
!
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16/04/12
Pour ce qui est du voyage :
Le pick-up est un double cabine Toyota Hilux ou Nissan Frontier.
Le mieux serait de mettre les sacs avec les choses de valeur dans
la cabine et le reste dans la benne si ca ne tient pas. De toute
facon la benne va nous servir pour l'essence, les outils et les
pièces de rechange. Je penserai plus tard à comment
sécuriser l'ensemble.
Pour le moment j'attends encore mon permis moto.
Une dernière bourde de l'administration péruvienne
qui me coûte une semaine d'attente de plus...
Je finis de travailler cette semaine avec le musée
de photographie de Lima et je me mets à plein temps dans
la coordination du voyage.
Ce qui me préoccupe un peu est la visite
de Lima, je ne sais pas si l'inclure dans le prix du voyage ou demander
éventuellement un supplément. Il y a plusieurs possibilités
:
1- ou nous faisons une visite du marché de
Magdalena et du centre de Lima et Barranco. Auquel cas ce ne sont
que des taxis ou la location éventuelle d'un minibus avec
chauffeur.
2- ou nous décidons de prendre le MiraBus qui est comme un
bus anglais sans toit qui fait visiter la ville, je ne sais pas
son coût
3. ou nous allons aussi au sanctuaire de Pachacamac. Mais là
location d'un minibus obligatoire.
Voilà les nouvelles, je file à Manchay
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Ceviche

Steak d'alpaga

Cuy grillés
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Que
mange-t-on au Pérou ?
Remarque de Clément : Un
truc important me paraît être la nourriture. Penser
à s'habituer à manger du riz assez sec les semaines
avant le départ, car avec les changements d'altitude constant
plus le rythme alimentaire qui change, les boyaux risquent devenir
des cornemuses.
La cuisine péruvienne est très
bonne.
Les restaurants sont très nombreux
et à tous les prix
Sur la côte, on mange beaucoup
des produits de la mer dont l'excellent ceviche : le céviche
est préparé à base de poisson cru mariné
dans du jus de citron. Le poisson est « cuit »
dans le jus de citron. Le plat est souvent accompagné de
patate douce,
de salade et de maïs.
Sinon, au Pérou, on élève
des poulets, beaucoup de poulets (pollo), même dans le désert...
On mange aussi du porc, exiger qu'il
soit bien cuit.
Presque tous les plats sont servis avec
un bol de riz en guise de pain.
Dans la région des lacs en montagne,
on mange beaucoup de truites.
On peut aussi manger de l'alpaga ou du
cochon d'inde (cuy – le « u » se dit
« ou » et on prononce toutes les lettres;-))
Au niveau légumes et fruits :
en dehors du riz, on mange des patates, des avocats, des grenades,
des mangues, des guanabanas...
Boisson : la chicha à
base de maïs, l'inca cola, de la bière « Cuzqueña »,
des jus de fruits... du vin du Chili ou d'Argentine (très
bon) et la boisson nationale : le Pisco Sour
Attention à l'eau qui n'est
pas potable, même pour se laver les dents, il faut prendre
de l'eau en bouteille fermée quand on l'achète pour
être sûr qu'elle n'a pas été remplie au
robinet.
Eviter de manger les feuilles de salade
qui accompagnent les mets, elles sont lavées au robinet.
Nous emmènerons
des pastilles de désinfection de l'eau.
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Grillades
de boeuf
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Verre d'inca cola
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Trucha = truite...
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Equipement
et vêtements
Lors
du périple, les températures peuvent varier de -2
le matin en montagne à 30° du côté d'Ica....
Il fait normalement beau à cette époque de l'année,
mais il vaut mieux prévoir, en altitude, nous ne sommes pas
à l'abri de quelques averses de neige.
*
plutôt de bonnes chaussures de marche que des bottes moto
*
une paire de chaussures légères pour le soir
(tennis, nu-pieds...)
*
une veste chaude et
*
des vêtements de pluie, peu encombrants qui peuvent servir
de coupe-vent
*
des sous-vêtements style thermolactyl ou techniques pour le
vélo ou la course à pied (chauds et respirants)
*
Pull chaud en laine : possibilité d'acheter sur place un
pull en alpaga, polaire, tour de cou, gants et bonnet (idem :
bonnet péruvien).
*
gants et casque (l'intégral protège mieux de la poussière,
ou de la pluie, le casque ouvert est agréable pour sa vision
et son confort, dans tous les cas, une visière ou des lunettes
sont nécessaires).
*
lunettes de soleil ,
surtout une protection anti UV (visière, lunettes de vue...)
non teintée ou alors jaune pour les contrastes, la luminosité
en montagne peut changer très rapidement.
*
lampe frontale ou lampe de poche autonome (à manivelle)
*
de la crème solaire
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L'avion
==>
Plan de l'aéroport de madrid Bajaras
Le voyage aller-retour
sera laissé à l'initiative de chacun et ne sera pas
compris dans le prix (aux partcipants de se regrouper pour voyager
ensemble).
Quelques
indications :
Nos enfants
et nous prenons en général nos billets sur Opodo.fr
ou Govoyage.com
(nous n'avons pas d'actions !).
Nous avons
constaté que le plus intéressant était de réserver
environ 2 mois avant le départ.
Pour faire
Paris-Lima, il faut compter une vingtaine d'heures, escale comprise
(environ 16 h dans les avions).
Les lignes
principales sont
- Paris-Madrid-Lima
avec Lan Perù et Iberia (très bien, très bon
service souriant et sympathique, boisonns gratuites à volonté)
- Paris-New-York-Lima
(attention au passeport pour les Etats-Unis !)
mais il peut
aussi y avoir des escales à Barcelone, Bogota, Caracas et
même Amsterdam avec Air-France/Klm
Pour des aéroports
comme Madrid ou New-York JFK qui sont immenses, prévoir un
temps suffisant (1 à 2 h) afin de changer sereinement de
terminal le cas échéant (il faut prendre le train
spécial qui fait le tour des terminaux - très bien
renseigné) - ne pas oublier que le premier avion peut avoir
un peu de retard.
Les prix
:
En avril, j'y
suis allé pour 840 euros aller-retour et Emilie, ma
fille revient en novembre décembre pour le même prix
(Lan-Pérù/Iberia). Sinon les prix s'échelonnent
de 830 à 1300 euros et même plus. Parfois, à
un jour près c'est plus intéressant.
Conseils
bagages :
Ne surtout
pas mettre de liquides ou objets pointus ou tranchants dans le bagage
cabine.
PRODUITS INOFFENSIFS ?
Qu’un saucisson soit inoffensif, personne
n’en doute a priori. Mais il en est de même d’un tube
de dentifrice ou d’une bouteille d’eau. Et pourtant, ces produits,
si ce n’est en très faible quantité, sont eux
aussi interdits dans une cabine d’avion. Ceci pour éviter
toute confusion avec des substances qui n’ont, elles, rien
d’anodines, des tentatives terroristes l’ont démontré.
Depuis 2006, la France, comme tous les pays de l’Union européenne,
a donc singulièrement élargi la liste des produits
prohibés dans la cabine d’un avion, la plupart d’entre
eux étant en revanche autorisés en soute. Voici
la liste des principaux.
ALIMENTS
Dans la mesure où ils peuvent prendre
une apparence pâteuse, être composé d’un
mélange de substances dures et d’autres molles, les
agents chargés des contrôles ont toute autorité
pour les refuser. Afin d’éviter des problèmes
aux passagers, l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry
recommande de ne pas tenter d’amener d’aliments en cabine.
Saucisses, saucissons, conserves, cake, miel, pâtes
à tartiner sont clairement cités. Une dérogation
est faite pour les aliments pour bébés si la
quantité transportée est en rapport avec la
durée du voyage.
BOISSONS, CRÈME, MASCARA…
Liquides, aérosols, gels et substances
pâteuses sont interdits sauf sous certaines conditions.
Cela comprend notamment l’eau minérale, les parfums,
boissons, lotions, crèmes, gels douche, shampoings,
mascara, soupes, sirops, dentifrice, savons liquide, déodorants.
Toutefois, il est possible de transporter ses substances dans
des flacons ou tubes ne dépassant pas 100 ml et mis
dans un sac plastique transparent de 20 x 20 cm. Sac à
tenir à la main et à présenter au contrôle.
Les achats effectués en duty free,
après le contrôle de sécurité,
ne sont pas soumis à ces restrictions mais attention
aux vols en correspondance.
MÉDICAMENTS
Pas de problèmes pour
les cachets. Les médicaments liquides peuvent être
montés à bord à condition qu’ils soient
accompagnés d’une ordonnance au nom du passager.
ARMES ET CISEAUX
Toutes les armes, y compris les reproductions
mais aussi les couteaux, ciseaux et tout instrument tranchant
sont interdits en cabine.
Il en est de même des objets contondants
(matraques, batte de base-ball, casque
de moto, etc.).
A condition de pas craindre une casse malheureuse,
il est possible de transporter dans la soute d’un avion la
plupart des produits comme des flacons de parfum, interdits
en cabine. Tout n’est cependant pas autorisé pour des
raisons évidentes de sécurité. On peut
citer les explosifs (y compris pétards et feux d’artifices),
munitions, liquides inflammables, produits corrosifs, gaz.
Donc pas de bouteille de gaz ni eau de javel ou batterie de
véhicule. Rappelons enfin que si des compagnies classiques,
comme Air France inclut dans le prix du billet un bagage en
soute limité en poids, les low-costs le font payer
généralement en supplément.
Publié le 21/02/2011 sur le site
leprogres.fr
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En général,
les poids du bagage soute est limité aux alentours de 20
kg, on peut emporter plus en payant une surtaxe. Passer assez tôt
à l'enregistrement permet de négocier un petit kilo
en trop.
Information générale
: Le poids maximum autorisé pour les bagages des personnes
voyageant en classe Eco est généralement de
20kg, et de 30kg pour les personnes voyageant en classe Affaires.
(voir les conditions particulières de votre compagnie
aérienne dans la liste ci-dessous).
Ces restrictions de poids s’appliquent à
la majorité des compagnies aériennes à
l’exception des voyages à destination des Etats-Unis
et du Canada, où la restriction bagage se fait sur
le nombre de bagage enregistré et non sur le poids.
Les passagers peuvent parfois enregistrer 1 ou 2 bagages dont
les dimensions maximales de chaque bagage ne peuvent excéder
158 centimètres (longueur+largeur+hauteur).
Le bagage à main personnel n’affecte
pas le poids total des bagages enregistrés en soute.
Les passagers ayant besoin d’enregistrer des objets dépassant
la limite des 32kg devront avertir la compagnie à l’avance.
Opodo recommande à tous ses clients
de vérifier le poids de leurs bagages avant de se rendre
à l’aéroport, pour ne pas avoir de problème
au moment de l’enregistrement.
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En cabine (avec
vous dans l'avion) :
Votre franchise bagages en cabine Voyageur
- 1 bagage standard qui respecte les dimensions
maximales suivantes :
55 cm x 35 cm x 25 cm – poches, roues et poignées
comprises.
- A noter : 1 housse à vêtement
est considérée comme un bagage standard.
- 1 accessoire (sac à main, ordinateur
portable, appareil photo...).
- Poids total maximal (bagage standard +
accessoire) : 12 kg.
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Pour ma part,
en général, je prends un sac à dos sans ses
armatures métalliques (que je mets dans la valise), ce qui
permet de le tasser, on ne m'a jamais demandé de peser mon
bagage à main..
Je voyage également
avec mes chaussures de marche et ma veste moto en guise de veste
principale, je mets la dorsale et les renforts dans la valise ou
le sac à dos afin qu'elle soit plus souple.
Ne ramenez
pas une provision de feuilles de coca... vous pourriez avoir des
ennuis !!!!
Pour
ceux qui passent par Madrid...
Avec Air
Europa
(groupe de juillet) : à l'aller, vous arrivez de Paris Orly
au Terminal 2 de l'aéroport Madrid Bajaras et vous repartez
pour Lima du Terminal 1. Ces 2 Terminaux sont côte à
côte et il est facile de passer à pied de l'un à
l'autre par les couloirs (envioron 600 m quand même), surtout
que vous avez le temps, l'aéroport est très bien indiqué,
sinon il y a des navettes. Pour le
retour, c'est la manoeuvre inverse.

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